Oh, je sais que les libertins détestent cela ! "Se prendre la tête"..
Une expression que je trouve pour ma part vulgaire, sans esprit qui pourrait sortir d'une caserne... De plus, réfléchir, hésiter, se tromper, recommencer, encore et encore, jusqu'à peut-être trouver le graal.. ou pas, voilà une activité saine et positive qui me donne bien plus le sourire que d'aller pomper des heures sur une barre de métal froid comme un shadock (Mes muscles se portent très bien, merci pour eux)...
Mais ma tête est malade... malade de ne pas résoudre une équation depuis ce matin. J'essaye de mettre en structure les mœurs, le désir, les fantasmes... mais l'équation m'échappe comme vous pouvez le voir en image..
Mais je suis têtu, j'aime me "prendre la tête", pour votre plaisir et le mien, car je compte bien vous faire un article étonnant si j'arrive à structurer mon intuition.. Affaire à suivre...
vendredi 31 août 2012
mercredi 29 août 2012
Hasta la vista, baby
Fin
des vacances et retour sur Paris et ses pierres mortes, son soleil de
plomb qui fait surtout transpirer et les touristes, ah oui, les braves
touristes que l’on confond assez bien avec un bobo tant ils sont de
la même nature spectrale.
L’occasion pour moi de voir que les commentaires se sont essentiellement tournés sur le blog sur la moralité féminine. Ah, il semble difficile encore aujourd’hui d’accepter qu’une femme puisse coucher avec plusieurs hommes sous l’oeil amoureux de son mari. En tout cas, cette dernière est affublée d’un sobriquet moins glamour que celui de dragueur. A bon entendeur, salut ! Les saints bols doivent rester chastes, maman se cache toujours au fond d’une femme libre et il ne faudrait pas qu’elle se réveille sinon ça sentirait l’inceste à plein nez. Un homme, ça va, deux ou trois hommes, bonjour les dégâts.
La réalité est en tout cas bien plus cucul que les commentaires le laissent entendre. Les gangs-bangs, ce n’est pas monnaie courante... Oui, ils existent mais il faudrait filmer cela pour voir que cela ne se déroule pas comme dans les films à papa ! La dame n’est pas la viande que l’on achète au poids, et ces messieurs n’ont pas tous le dard en avant prêt à jouer la guêpe en furie. C’est sensible un homme ! Nombreux sont ceux ou celles qui en passant à l’acte découvre qu’il n’est pas si simple de jouer le matador ou la vache folle ! On joue souvent dans la boucherie du mou ou du baveux. Et comme chez les dominos, quand il y en a un qui se dresse, les autres tombent !
Un peu comme chez les naturistes que nous avons rencontré cet été. Elle est belle l’idée de se promener cul nu sur la plage.. et il est vrai que tremper biscuit et miche dans l’eau salée, à défaut de revigorer le machin, ça donne une vraie sensation de liberté ! Mais quand on revient sur la plage, on se rend compte qu’on est quand même entouré de vielles planches qui matent et que le prospectus qui nous vendait de beaux corps bronzant au soleil était un peu mensonger... on y croise surtout des gros culs, des têtes avec des bobs et un cheptel de grands mères !
Il faut que je me fasse pardonner d’avoir un peu laissé à l’abandon ce blog ces dernières semaines. Les lecteurs fidèles ont pu lire l’article en question, mais j’ai perdu un ami très cher et les mots me manquaient pour venir ici raconter nos voyages à libertinage-city. La simple page blanche donnait déjà envie de vomir, et les mots ressemblaient tous à des puddings indigestes que je me refusais à enfiler comme des perles.
Mais la vie reprend son cours, le diable sort de sa boite, et quand on sent la mort s’inviter aussi intimement à table, on se sent l’âme d’un résistant. Rien n’est plus efficace comme potion que de la tancer en brûlant la chandelle par les deux bouts.
A bientôt amis lecteurs et amies lectrices.
L’occasion pour moi de voir que les commentaires se sont essentiellement tournés sur le blog sur la moralité féminine. Ah, il semble difficile encore aujourd’hui d’accepter qu’une femme puisse coucher avec plusieurs hommes sous l’oeil amoureux de son mari. En tout cas, cette dernière est affublée d’un sobriquet moins glamour que celui de dragueur. A bon entendeur, salut ! Les saints bols doivent rester chastes, maman se cache toujours au fond d’une femme libre et il ne faudrait pas qu’elle se réveille sinon ça sentirait l’inceste à plein nez. Un homme, ça va, deux ou trois hommes, bonjour les dégâts.
La réalité est en tout cas bien plus cucul que les commentaires le laissent entendre. Les gangs-bangs, ce n’est pas monnaie courante... Oui, ils existent mais il faudrait filmer cela pour voir que cela ne se déroule pas comme dans les films à papa ! La dame n’est pas la viande que l’on achète au poids, et ces messieurs n’ont pas tous le dard en avant prêt à jouer la guêpe en furie. C’est sensible un homme ! Nombreux sont ceux ou celles qui en passant à l’acte découvre qu’il n’est pas si simple de jouer le matador ou la vache folle ! On joue souvent dans la boucherie du mou ou du baveux. Et comme chez les dominos, quand il y en a un qui se dresse, les autres tombent !
Un peu comme chez les naturistes que nous avons rencontré cet été. Elle est belle l’idée de se promener cul nu sur la plage.. et il est vrai que tremper biscuit et miche dans l’eau salée, à défaut de revigorer le machin, ça donne une vraie sensation de liberté ! Mais quand on revient sur la plage, on se rend compte qu’on est quand même entouré de vielles planches qui matent et que le prospectus qui nous vendait de beaux corps bronzant au soleil était un peu mensonger... on y croise surtout des gros culs, des têtes avec des bobs et un cheptel de grands mères !
Il faut que je me fasse pardonner d’avoir un peu laissé à l’abandon ce blog ces dernières semaines. Les lecteurs fidèles ont pu lire l’article en question, mais j’ai perdu un ami très cher et les mots me manquaient pour venir ici raconter nos voyages à libertinage-city. La simple page blanche donnait déjà envie de vomir, et les mots ressemblaient tous à des puddings indigestes que je me refusais à enfiler comme des perles.
Mais la vie reprend son cours, le diable sort de sa boite, et quand on sent la mort s’inviter aussi intimement à table, on se sent l’âme d’un résistant. Rien n’est plus efficace comme potion que de la tancer en brûlant la chandelle par les deux bouts.
A bientôt amis lecteurs et amies lectrices.
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